Avis de réunion

Section locale 4340

Syndicat canadien de la fonction publique

Personnel de la conciergerie du Conseil scolaire catholique MonAvenir

AVIS DE CONVOCATION :

ASSEMBLÉE GÉNÉRALE

Chers consœurs et confrères, vous êtes cordialement invités à l’assemblée générale

Samedi le 13 avril 2024

Lieu: Cafétaria de ESC Monseigneur-de-Charbonnel

Adresse: 110 Drewry Ave Toronto

Heure: 09h30

Points forts à l’ordre du jour :

· Informations pour le remède au projet de loi 124

· Nominations et Élections des dirigeantes/ dirigeants

Aux postes suivants :

1 Représentant(e) au Comité mixte Santé-sécurité

1 Syndic

 

Très important : Les nominations seront acceptées avant les élections et que les personnes nominées soient présent lors des élections

Joignez-nous en grand nombre.

En Solidarité.

Section Locale   4340 SCFP\CUPE

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Chers membres,

 

Pour poursuivre la tradition, nous aimerions organiser un barbecue de fin d’année cette année encore.

Nous aimerions voir le plus grand nombre de personnes possible venir à notre barbecue de fin d’année et à notre réunion syndicale.

 

Veuillez confirmer votre présence au barbecue avant le 5 juin 2023.

blines@cscmonavenir.ca  ou

gpoulin@cscmonavenir.ca

 

Merci

Votre exécutif

Section locale 4340 du SCFP

 

Donner au prochain : les travailleurs de l’éducation du SCFP se mobilisent pour soutenir le public et leurs collègues durement touchés par la COVID-19

Les travailleurs de l’éducation représentés par le SCFP en Ontario se préparent à épauler leurs amis et voisins dont la vie et le lieu de travail ont été bouleversés par la pandémie de COVID-19.

Les dirigeants des conseils scolaires du SCFP ont fortement soutenu l’initiative de « participation communautaire » du gouvernement provincial, ouvrant ainsi la voie aux travailleurs de l’éducation du syndicat pour prêter main forte dans les foyers de soins de longue durée, les foyers de groupe et autres foyers de soins collectifs.

« Les travailleurs de l’éducation du SCFP ont un fort sentiment d’appartenance à la communauté et savent qu’il y a un besoin crucial de personnel dans les services de santé, les soins de longue durée et les services sociaux. Plusieurs parmi nous cherchent des moyens d’apporter notre soutien et nous sommes heureux d’appuyer ce plan volontaire », a déclaré Laura Walton, présidente du Conseil des syndicats des conseils scolaires de l’Ontario (CSCSO) du SCFP.

D’ailleurs, un conseil scolaire du SCFP à Kenora travaille déjà sur les moyens de redéployer ses concierges pour pourvoir aux besoins d’entretien des hôpitaux de la région.

Très peu de travailleurs de l’éducation ont été licenciés pendant la fermeture des écoles de l’Ontario et bon nombre d’entre eux, y compris les concierges, les éducateurs de la petite enfance et les aides-enseignants, sont toujours en poste, assurant l’entretien des écoles et soutenant les élèves qui apprennent à la maison.

Mme Walton a confirmé que « de nombreux membres du SCFP sont disponibles et désireux de soutenir les résidents vulnérables et les collègues épuisés ». Parmi ceux qui se présentent pour un détachement dans d’autres secteurs on trouve des concierges, des travailleurs auprès des jeunes, des psychologues, des préposés à l’entretien, des aides-enseignants, des travailleurs sociaux, des para-professionnels, des éducateurs spécialisés et des préposés aux services alimentaires.

Mais, même si les travailleurs de l’éducation du SCFP retroussent leurs manches pour se porter volontaires pour un redéploiement, ils sont conscients que leurs collègues d’autres secteurs ont soit subi des licenciements massifs, soit sont épuisés ou malades, tout en travaillant sous des ordres émis en vertu des pouvoirs d’urgence du gouvernement.

« En tant que travailleurs du secteur public, nous avons demandé que tous les redéploiements soient volontaires et que tous les travailleurs licenciés soient réembauchés », a déclaré Mme Walton. « Nous reconnaissons surtout la dure réalité que la pandémie a révélée sur l’état des services publics dans la province et ce qu’elle signifie pour les travailleurs et les personnes vulnérables ».

La COVID-19 n’a fait qu’amplifier ce que les travailleurs du secteur public du SCFP disent depuis des années, à savoir le sous-financement et la pénurie de personnel de la province ont laissé les services publics de l’Ontario diminués, dangereusement débordés et sans la résilience nécessaire pour faire face à une pandémie.

« Ce virus a montré à tous les Ontariens les effets catastrophiques de priver nos services essentiels d’argent et de ressources. Les personnes qui dépendent de ces services méritent mieux, tout comme celles qui les fournissent », a conclu Mme Walton.

Les travailleurs scolaires membres du SCFP ratifient une entente qui rétablit les services aux élèves et ramène des emplois

Les travailleurs scolaires ontariens représentés par le SCFP ont voté en faveur de la ratification d’une convention collective centrale qui garantit le rétablissement des services essentiels destinés aux élèves et le retour de 1300 postes de soutien dans les écoles de la province.

« Nous sommes heureux que les membres du SCFP aient ratifié cet accord qui rétablit les dizaines de milliers d’heures de services aux élèves supprimées par le gouvernement Ford plus tôt cette année », a déclaré Laura Walton, présidente du Conseil des syndicats des conseils scolaires de l’Ontario (CSCSO). Le CSCSO mène les négociations centrales au nom de 55 000 membres du SCFP.

Le retour de 1300 emplois de soutien, perdus à cause de ces mêmes compressions, est dû au rétablissement d’un financement pouvant atteindre 78 millions de dollars par an.

L’accord entre le SCFP et le CSCSO, d’une part, et le Conseil des associations d’employeurs et le gouvernement de l’Ontario, d’autre part, avait été conclu le 6 octobre, alors que les travailleurs scolaires membres du SCFP étaient à quelques heures d’une grève générale, après avoir mené une grève du zèle dans 63 conseils scolaires. Les membres du SCFP de 109 unités de négociations œuvrant dans les conseils scolaires se sont prononcés sur cette entente de principe entre le 15 octobre et le 1er novembre.

« Je suis extrêmement fier d’être membre d’un syndicat dont les membres, avec l’aide d’une partie de la communauté, ont réussi, collectivement, à faire reculer les conservateurs de Ford », ajoute le président du SCFP-Ontario, Fred Hahn. « Le gouvernement réinjecte des dizaines de millions de dollars dans nos écoles, et c’est parce que nos membres ont tenu bon contre les concessions; ils ont su défendre les services qui viennent en aide aux élèves, aux parents et aux autres intervenants du secteur scolaire. »

Le CSCSOSCFP se concentrera maintenant sur les prochaines étapes. Il décrit ce contrat comme une occasion de garder les projecteurs bien braqués sur les dommages que le sous-financement chronique fait subir au système scolaire ontarien.

« Oui, nous sommes heureux de ratifier cet accord centralement, parce qu’il assure la sécurité des services, mais ce n’est que le début, prévient Mme Walton. Par exemple, on a négocié l’augmentation salariale d’un pour cent dans l’ombre du projet de loi 124, qui limiterait les salaires des travailleurs du secteur public ontarien. Cela ne correspond pas à ce que méritent les membres du SCFP. Et il reste des progrès à faire dans la résolution de problèmes comme la violence à l’école, y compris l’épidémie d’intimidation qui affecte tout le monde. »

De plus, le SCFP envoie un message de solidarité aux enseignantes et enseignants, du primaire en particulier, ceux-ci ayant voté de manière écrasante en faveur d’une grève. « Nous avons fait des progrès parce que nos communautés ont été solidaires, estime M. Hahn. Et c’est grâce à la participation des travailleurs de l’éducation et de leurs alliés aux préparatifs de la grève, aux manifestations, aux piquets d’information, aux activités de sensibilisation populaire et aux moyens de pression. Alors que nos enseignants poursuivent les négociations en vue de faire annuler les coupes en profondeur dans le secteur de l’éducation, que le gouvernement Ford sache qu’il ne nous montera pas les uns contre les autres ! Ensemble, nous pouvons mettre fin aux coupes et renforcer le système d’éducation publique, afin de nous doter des écoles que tous les enfants méritent. »